eomis

Eomis, aussi connu sous Pakal, TiToubidou ou encore ses premiers pseudos "Harry_Potter", "Globox", "NeoX", "Iomos" fait partie des plus vieux NFOR.

En 2003, alors que @Tisky écrivait encore en kikoolol MDR §§§, il était un membre actif de site JoC. Lorsque le site fût fermé, c'est en toute logique qu'il resta un membre du clan NFOR, le cœur de JoC.

Eomis, Harry_Potter, Globox, NeoX, Iomos est né il y a 911 ans. Élevé par des chinchillas au Pérou, sur les hauts plateaux du Nord, près de Tarapoto. Il est très vite attiré par la civilisation humaine, et particulièrement leur musique.

Tous les soirs, à partir de 4 ans, il jouait de la flûte de pan à guichet fermé dans le bar "Chinchilladas" tenue par son cousin Toko-Modo. Un public en folie, tous les soirs. La douceur de sa musique, et ses mélodies enivraient la foule. Des miracles se produisaient, des aveugles revoyaient, des infirmes remarchaient. Les étoiles tombaient du ciel pour envahir la vallée, et des chinchillas en transe faisaient l'amour. Tout cela était visible depuis l'espace.

En 1218, Eomis participe à la Bataille de Caballococha. Un conflit entre la faune Péruvienne, Colombienne et Brésilienne, qui commença lorsque ces deux derniers tentèrent d'envahir les hauts plateaux du Pérou en passant par le fleuve Amazone. Ce conflit de grande envergure fût marqué par la puissance d'Eomis, chevauchant sa panthère noire, armé d'une sarbacane et d'un fouet clouté. Nombreuses étaient les insectes et autres arachnides qui ont participé dans la communication et le renseignement. Dans tous les camps, il y eut de nombreuses victimes.

Fin 1223, après de nombreuses défaites, la dernière bataille appelée L'agonie de Tarapoto marqua un tournant dans la Guerre des Trois. La guerre fût perdue, et les chinchillas de Tarapoto fuirent la région. Les moins chanceux ont été capturés, vendus et dépecés.

On ne peut raconter tout ce qu'a traverser Eomis, jusqu'en 2003. Mais ces exploits sont connus de beaucoup d'animaux. Des plateaux d'Amérique du Sud, jusqu'aux steppes de Mongolie où il a participé à la construction de la Cité des Espoirs. Cité qui s'étend sur 5 km de profondeur, sous 80% de la Mongolie actuelle. Cachée aux yeux et à la barbe des familles mongoles, vivant dans la chaleur de leur yourte avec leurs petits chevaux et leur télévision par satellite.